Race & origine Né à Solitude, le sang des hauts elfes Altmers coulent dans ses veines, mêlé à celui des Nordiques qu’il a hérité de son grand-père. Il porte fièrement ses origines, heureux d’être le fruit de l’amour plutôt que de l’arrogance froide des Hauts elfes. Baptisé Arterion à sa naissance, il arpente le plus souvent les terres de Bordeciel sous le nom d’Eirlan, nom nordique qui lui permet de se fondre plus aisément parmi les humains. Affiliation Comme à son père avant elle, il est fidèle à la Jarl de Blancherive et respecte sa décision de rester neutre dans le conflit entre les Sombrages et l’Empire.  Il l’a vu grandir, elle et ses frères, et lui a offert son aide et ses conseils depuis qu’elle a été nommé Jarl. Métier Thane de Blancherive depuis dix-neuf ans, il s’improvise espion depuis quelques mois, se faufilant tour à tour au cœur de Vendaume puis de Solitude, changeant d’apparence et de nom aussi souvent qu’il est nécessaire Dieu Sa famille lui a appris à prier les dieux elfiques, mais également à prêter attention aux dieux humains. Il lui arrive souvent d’adresser ses prières à Julianos et Magnus, il a également un respect profond pour Arkay, particulièrement depuis la mort de son fils. Mais c’est surtout à Xarxes qu’il destine ses prières, toujours en quête de nouvelles connaissances malgré les années qui passent. Caractère Eirlan n’est plus le même depuis la mort de son fils. Parlant peu mais observant beaucoup, il attend le moment idéal pour intervenir. Rares sont les moments où ils se laissent aller à être lui-même, plus encore lorsqu’il change d’apparence et prend l’identité d’un autre. Il doit alors tout contrôler et tout surveiller pour ne jamais se trahir et mettre sa vie en danger. Calme et rusé, il prend le temps d’analyser une situation plutôt que de se jeter tête la première dans la gueule du lion mais lorsqu’il est sûr de ses décisions, personne ne lui fera changer d’avis. Il reste tout de même à l’écoute des autres, ouvert d’esprit, il sait qu’il ne faut pas juger un livre à sa couverture et que derrière une apparence des plus banales peut se cacher une personne extraordinaire. Il en est l’exemple même, oubliant parfois qui il est vraiment, se fondant dans un rôle auquel il se raccroche. Il se créait une vie, se mélange aux personnages qu’il invente pour oublier la triste réalité de la sienne. Il n’a pas vraiment de maison, même Blancherive et Fortdhiver lui semblent parfois étrangères même si c’est là-bas que réside son cœur désormais, au côté de ses anciens amis, mais également au côté de la famille du Jarl, près de ces enfants qu’il a vu grandir pour devenir des adultes méritants. Fidèle à Dagny, il espère la conseiller encore longtemps, mais il garde ses propres idéaux. Avide de connaissances depuis sa plus tendre enfance, Eirlan ne lâche rien et lorsqu’il commence une tâche, il la continue jusqu’à en être satisfait. Si le savoir est pouvoir, alors il est aussi puissant qu’un roi. Il use et abuse de ces petits secrets qu’il détient pour mentir et s’enfoncer toujours plus profondément dans les nouvelles identités qu’il se construit, mais gare à la chute. Si c’est un très bon menteur, il sait qu’il n’est pas à l’abris d’être découvert et la menace est comme une épée de Damoclès qui le suit perpétuellement, le rendant méfiant envers tous ceux qu’il rencontre. Pessimiste depuis la mort de son fils et le départ d’Erendis, l’avenir si prometteur s’est assombri en l’espace d’une nuit, laissant dans son cœur des blessures qui ne guériront jamais et qui l’empêche de d’avoir foi dans le futur qui se profile. S’il n’a pas un mauvais fond, il n’a plus rien du héros qu’il était lorsqu’on l’a nommé Thane. Mais l’étincelle se rallume parfois et il retrouve alors son âme généreuse, douce et profondément bienveillante.

Apparence, vêtements, anecdotes Eirlan a plusieurs visages et en change comme d'autres changent de vêtements. Un jour les cheveux noirs, l'autre, blond comme les blés, il joue, s'amuse de son pouvoir d'illusion qui lui permet de revêtir de nombreuse enveloppe et de se mêler à la foule en passant inaperçu. Les oreilles rondes à Vendeaume, pointues à Solitude, le visage fin ou carré, il s'adapte à la ville et la population qui y vit, mais il ne change que très rarement la couleur de ses yeux, aussi bleus que ceux de sa mère. De plus, il ne prend jamais l'apparence d’une personne existante, mais s'inspire des traits, de la façon de marcher et d'agir de ceux qu'ils croisent pendant ses voyages. Avec les années, il a appris à cacher les petits tics reconnaissables qui auraient pu le trahir, ce qui lui ai très utile depuis qu’il est espion. Ce qui n'était d'abord qu'un jeu lorsqu'il était jeune est devenu très pratique pour s'infiltrer dans différents camps.  Il aime particulièrement prendre l'apparence d'un vieil homme, s'inspirant des souvenirs qu'il garde précieusement de son grand père Nordique, aujourd'hui mort. Le temps de quelques heures, il n'est plus cet elfe sans âge sur lequel les années sont passées sans laisser de traces. Il n’y a qu’à Fortdhiver et dans sa demeure de Blancherive qu’il retrouve sa véritable apparence : celle d’un elfe aux cheveux châtains, le visage fin et le corps affuté par les longs voyages et les entraînements au combat. C'est seulement sous cette forme qu'il révèle la bague, souvenir pesant d'un mariage anéanti, qu'il porte à la main droite ainsi que ses nombreuses cicatrices, souvent superficielles, si ce n’est celles qui traversent son dos, causées par les dents acérées d’un smilodon. C'est finalement grâce à l'arc en bois qu'il garde souvent sur lui qu'il a réussi à tuer la bête. Mais dernièrement, il lui préfère une longue épée en acier, plus discrète là où il va, plus humaine également.

Paramètres systèmesPseudo/Prénom Aerin ou Sandra Age 22 ans Pays France Comment as-tu connu le forum ? J'ai des relations qui ont des relations (que je connais en plus)   Des remarques ? J'ai tellement hâte    Par contre, je sais d'avance que j'ai une semaine de partiels, donc si je pouvais avoir un petit délai pls 

Les dragons ont toujours été une légende, du folklore : maintenant, on dit qu'un d'entre eux à attaquer la forteresse d'Helgen.. Y croyez-vous ? J’aimerais me dire que ces rumeurs sont infondées, la conséquence d’une illusion qui s’est propagée dans tout Bordeciel et rien de plus qu’une histoire. Toutefois j’ai lu beaucoup trop de livres à leur sujet pour ignorer les signes et les détails préoccupants dans les récits qui se racontent autour du feu sur le dragon de Helgen. Et puis, comment des créatures si impressionnantes et dangereuses ont-elles pu un jour disparaître ? J'attends une nouvelle preuve, irréfutable cette fois, de leur retour, tout en espérant qu'il n'en est rien.

La mort du haut-roi des mains du chef des rebelles, le siège de Fortdhiver sont deux actions qui ont fait éclaté la guerre civile, longtemps larvée entre Impériaux et Sombrages : comptez vous vous engager d'un côté ou de l'autre ? Je suis partagé entre mes origines. D'un côté les Sombrages et leurs revendications face au Traité de l'Or Blanc, de l'autre les Impériaux et les elfes, ma race, ma nation même si je n'ai jamais adhéré à leurs idéaux. Si j'estime que les nordiques devraient avoir le droit de prier un dieu qu'ils honorent, je réprouve leurs méthodes. Je suis neutre et le resterait, fidèle uniquement à la Jarl de Blancherive, j'espère qu'elle n'interviendra pas dans le conflit autrement que pour aider la population innocente.

Né durant l’hiver de l’année 89, Eirlan n’a jamais manqué de rien malgré l’origine modeste de ses parents. Elevé dans l’amour et le respect de ses origines, choyé, désiré mais unique enfant de la famille, il reçu une éducation privilégiée, très proche de ses parents et de ses grands-parents, notamment de son grand père humain dont la mort, quelques années après son départ à Fortdhiver, l’anéanti. La magie d’illusion fut pour lui comme une évidence. Tandis que son père préférait le soin, Eirlan, encore connu sous le nom d’Arterion, choisi de manipuler les sens, fasciné par cette magie pleine de promesse. Il choisit de poursuivre ses études à Fortdhiver, mécontent des rares connaissances du précurseur que sa famille avait eu les moyens d’engager. Avec toute sa famille derrière lui pour l’encourager, il foula pour la première fois les dalles de pierre de l’académie à l’âge de dix-sept ans, avide de connaissance, élève attentif et doué. Quarante années passèrent ainsi, sans qu’il ne ressentît l’ennui, toujours heureux d’apprendre et d’élargir ses connaissances. Non content de maîtriser la magie d’illusion, il se tourna vers d’autres domaines, tout en devenant à son tour professeur. Dix années s’ajoutèrent, plus dix autres durant lesquelles sa soif de découvertes et d’aventures augmenta. Bien entraîné et désireux de découvrir de ses propres yeux les merveilles qui remplissaient ses livres, il quitta l’académie après un dernier regard en arrière.

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Elle tient le monde entre ses mains. Un petit être rose, recroquevillé dans la chaleur de ses bras, les yeux et poings fermés. L'enfant qu’ils attendaient, espéraient avec tant d'impatience. Ils ont prié les Dieux, nuit et jour, de leur accorder ce bonheur et le voilà enfin, à peine né et déjà plein de vie. Il adresse un doux sourire à Erendis, les larmes aux yeux. Son fils. Moitié nordique, moitié elfe, symbol d'une union défiant la guerre qui se met en place à l'extérieur.

Le bonheur fut de courte durée. Quelques mois suffirent, un an à peine, pour briser leur vie. Les dieux leur retirèrent leur enfant, mort durant son sommeil, retrouvé glacé au petit matin. Aurait-il connu l’avenir, peut-être l’elfe serait-il resté à Blancherive, bien à l’abris entre les murs de la maison généreusement offerte par le Jarl après qu’il ait été nommé Thane. Peut-être aurait-il choisi de ne pas se rendre à Fortdhiver pour voir ses anciens amis, choisi de ne jamais la rencontrer. Erendis. Ses longs cheveux noirs. Son sourire mutin. Ses grands yeux bleus qui se sont levés vers lui alors qu’il entrait dans la bibliothèque où elle étudiait.

Leur vie éclata en mille morceaux. Et une fois éparpillé au quatre vents, leur amour s’étiola sans qu’ils ne puissent en récupérer les fragments. Détruit par le chagrin, Eirlan se renferma sur lui-même, ignorant la douleur d’Erendis et tous ses changements qui la détournèrent de lui peu à peu. Elle accusa ses dieux elfiques d'avoir pris leur enfant et sombra sous ses yeux dans une folie douce. Ils finirent par ne plus se regarder, se tournèrent le dos, avant de prendre chacun un chemin différent. Elle disparut une nuit, quitta la maison pour ne plus revenir, emportant avec elle les quelques biens qui lui appartenaient encore et les derniers maigres espoirs d’Eirlan. Lorsqu’il devint évident qu’elle ne reviendrait pas, il reprit la route, cherchant à oublier le passé et à simplement avancer. Survivre, mettre un pied devant l’autre, chaque jour, encore et encore, jusqu’à ce que la douleur soit moins forte, le manque moins grand. Jusqu’à ce que la guerre éclate et éclipse tout.

Le corps du roi n'était pas encore mis en terre lorsque Eirlan dépassa les grandes portes de Blancherive pour la première fois depuis trois ans. Il offrit ses services à la nouvelle Jarl et plaça sa confiance ainsi que sa vie entre ses mains. Depuis, il arpente Bordeciel à la recherche d'informations, maître des mensonges et des illusions.

❖ Tu peux maintenant passer signer les bottins Il y en a pas mal parce qu'on aime bien que tout soit bien rangé, mais il ne faut pas passer à côté, pour que tout soit clair pour tout le monde ensuite N'oublie pas aussi de signaler ton rôle et si tu as un clan
❖ Toujours dans la section obligatoire, il faut que tu crées ton agenda de rp : non, ce n'est pas une fiche de lien, c'est juste pour poster un lien à chacune de tes réponses, pour voir ton activité rp ! Tout est expliqué juste là mais en cas besoin, n'hésite pas à mp le staff!
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