Race & origine Elle a passé son enfance dans la crasse des bas fonds d'Alinor, loin des légendaires palais elfiques aux lumières d'albâtre, Altmer de pure souche. Affiliation Sa loyauté va au Thalmor, auquel elle est dévouée corps et âme.  Métier Ses mains sont rouges du sang des innocents qui meurent dans les ombres du Donjon de Nordguet. Elle est Maîtresse-Exécutrice. Dieu Ayant longuement vécu en Val-Boisé, elle est proche du culte d'Yffre. Elle a d'ailleurs prit l'habitude de se nourrir essentiellement de viande, comme le font les habitants de Val-Boisé pour respecter le Pacte Vert. Elle est proche du culte d'Arkay et exècre tout ce qui touche aux Daedras. Caractère Irinwe est quelqu’un de secret qui n’aime guère déblatérer à son propos. Là où certain apprécie de tenir le crachoir et d'être au centre de l'attention, elle préfère largement l'inverse, se tenir dans l'ombre et écouter. Ancienne espionne, elle sait à quel point il est facile d'être trahi par un mot de trop, une information qui fuite... Légèrement paranoïaque, ce qui est une qualité à ses yeux, elle ne laisse rien fuiter à son sujet, pas même devant ses hommes qui ignorent par exemple qu'elle a des enfants. C'est une habitude au Thalmor de s'espionner les uns les autres et elle ne fait pas exception à la règle. Constamment sur ses gardes, elle affiche généralement une expression de calme impassible, à l’image du sang froid inébranlable dont elle fait preuve en toutes circonstances, laissant tout de même entrapercevoir un léger sourire de temps en temps. Si elle ne se laisse jamais emporter par ses émotions, il ne faut pas s'y méprendre : sa rancune est tenace. Son calme placide dissimule une bête féroce capable d'une terrible sauvagerie si on la libère. De nombreuses rumeurs courent sur Irinwe, que ce soit au sein du Thalmor ou parmi ses ennemis, mais il est difficile de reconnaître le vrai du faux, d'autant qu'elle fait bien attention à brouiller les pistes. Durant la Grande Guerre, elle était surnommer "L'Ombre Rouge", un sobriquet utilisés aussi bien par ses frères d'armes que par ses ennemis. On disait qu'il valait mieux la croiser sur un champs de bataille quand dans une cellule, car dans ce cas il était préférable de se suicider avant de tomber entre ses mains. Les récits prétendant qu'elle serait inarrétable au combat, capable de se battre avec quinze centimètre d'acier dans le ventre et une flèche dans le genoux lui ont valu une réputation de cinglée, et ce même aux yeux de ces compatriotes...il faut dire que ces histoires sont vrais. En effet, depuis son enfance, elle est atteint d'une étrange maladie : Elle est insensible à la douleur.  En effet, plonger la main dans  une marmite d’eau bouillante pour récupérer une cuillère tombée au fond et se prendre une flèche dans le genoux ne lui arracherons pas le moindre cris. Pas le moindre tressaillement. Pour autant, il serait complètement faux de dire qu’elle ne ressent rien. La caresse du vent contre sa peau, le froid d’une pluie battante et la chaleur d’une étreinte ne lui sont pas étrangers. Si cette extraordinaire condition physique peut sembler idyllique, c’est en réalité terriblement handicapant. Elle ne sentirait pas une fracture en cas de chute par exemple, ou ne connaîtra pas ses limites durant un duel et risque de tomber d’épuisement, ce qui est déjà arrivé quand elle était plus jeune. Ainsi, l'apprentissage de la magie de guérison était une question vitale, bien qu'elle n'y accorde pas autant d'importance qu'elle devrait. Si son défunt frère aurait préféré qu'elle reste en sécurité derrière les barricades alliées, Irinwe s'y est toujours refusé. Elle n'est pas une leader. Diriger son petit groupe d' exécuteurs lui convient très bien et il ne viendrait pas à l'idée d'en demander plus. Bien qu'elle connaisse les bases de la stratégie militaire et qu'elle sache tout à fait se faire obéir par ses hommes, elle apprécie plus l'action direct que le commandement à distance. Elle considère sa loyauté envers le Thalmor comme inébranlable, cependant  elle est loin d’être entièrement d’accord avec touts les ordres qu’ils lui donnent. Peut-être est-ce le fait d'avoir élevé des enfants ces dernières années, ou peut-être est elle simplement plus critique.. Elle soutient le Traité de l'Or Blanc, et fait preuve du même racisme que la plupart des Altmers, mais elle préférerait une paix durable avec les humains qui éviterait plus de morts inutiles. De plus, il est clair que la plupart des prisonniers qu'on lui demande d'interroger sont de simples pèquenauds qui n'ont rien demandé à personne, et que beaucoup de ses camarades elfes cherchent juste à se défouler, encore piqué dans leur orgueil d'avoir dû baisser les armes face aux humains. Bien qu'elle ai un sens de l'honneur tout à fait discutable, il lui arrive de faire preuve de compassion et de libérer des prisonniers dans la plus grande discrétion, et de mener ses hommes à l'opposé de leurs fuites lors des traques organisées pour les retrouver. Alors qu'il y a quelques décennies, elle n'aurait jamais fait une chose pareil, elle sent bien que sa façon de penser change...sans le montrer en personne, elle est en proie au doute. Elle se garde bien de montrer ses tourments à qui que ce soit, car elle sait que de telles opinions pourraient lui coûter bien plus que son poste... Malgré son caractère impitoyable, elle peut faire preuve d'une certaine douceur, souvent inattendu. Elle veille sur sa famille, ses deux enfants adoptifs, comme une louve veillerait sur sa meute et n'hésiterais devant rien pour les protéger. Elle est attirée aussi bien par les hommes que par les femmes, même si elle a une nette préférence pour ces dernières. Bien qu'elle est eu des liaisons par le passé, elle évite de trop s'attacher à quelqu'un en particulier, ce ne serait pas prudent au vue de sa situation. De plus, c'est quelqu'un de plutôt indépendant.

Apparence, vêtements, anecdotes Elle a une physionomie typiquement elfique, avec des yeux ambrés et un visage fin taillé au couteau. Son corps est sec et musclé, forgé par les batailles auquel elle a participé qui y ont laissé de nombreuses cicatrices. Les plus évidentes sont les balafres sur son oeil et sa joue, souvenir d’un combat où elle s’est montrée trop imprudente, une erreur qu’elle commet trop souvent. Elle a également une trace de morsure canine sur la cuisse, et une large cicatrice sur le ventre. Sous ses gants se trouvent des traces de scarifications beaucoup plus anciennes. Outre ses cicatrices, elle a un aspect austère et inquiétant, renforcé par ses vêtements sombres et les peintures rituelles qu’elle a autours des yeux. Ces dernières, peu courantes chez les autres Altmer, font qu’elle est régulièrement confondue avec une Bosmer, ce qui ne manque pas de l’amuser. On la voit rarement sans son armure, et jamais sans une arme. Lorsqu’elle est au Donjon de Nordguet et qu’elle n’est pas occupée à torturer des gens, elle se permet d’enfiler des vêtements un peu plus confortable, qui se constituent habituellement d’une tunique sombre, d’un pantalon sombre, de chaussure sombre…Non, les couleurs c’est définitivement pas son truc. Inutile d’essayer de lui faire enfiler une robe en cas de visite diplomatique ou de bal aristocratique. A ses yeux, les réceptions distinguée équivaut à un champs de bataille en froufrou, et il n’y a qu’une tenue de circonstance : une armure. Elle a une chevelure blonde cendrée qu’elle ne coiffe jamais, même si elle a quelques tresses qui s’y promènent, trace d’une vie familiale que beaucoup ignore. Afin d’éviter d’être aveuglée par une mèche de cheveux fourbe au milieu d’un combat, elle les ramène généralement dans sa capuche, et en dernier recours, les attache en queue de cheval.

Paramètres systèmesPseudo/Prénom Pseudo ou prénom ou les deux du joueur Age A remplir. Pays A remplir. Comment as-tu connu le forum ? A remplir. Des remarques ? Je vous zaimes les gens.

Les dragons ont toujours été une légende, du folklore : maintenant, on dit qu'un d'entre eux à attaquer la forteresse d'Helgen.. Y croyez-vous ? S'il ne s'agissait que de racontars de soldats ivres, je n'y accorderais pas la moindre importance, cependant la moitié des témoignages proviennent de soldats légionnaires émérites. Des hommes et des femmes formés à la guerre, hauts-gradés qui plus est, qui reviennent d'Helgen traumatisés ? C'est assez alarmant pour prendre la menace au sérieux. Il va falloir que le Thalmor compose avec ce nouveau paramètre, mais ce n'est pas de mon ressort. D'un point de vue purement personnel, j'espère juste que ma fille ne prendra pas ces rumeurs trop au sérieux. Elle serait capable de vouloir en adopter un ...

La mort du haut-roi des mains du chef des rebelles, le siège de Fortdhiver sont deux actions qui ont fait éclaté la guerre civile, longtemps larvée entre Impériaux et Sombrages : comptez vous vous engager d'un côté ou de l'autre ? Le jeu des alliances fait que je suis officiellement du côté de la Légion, même si je n'éprouve que mépris pour l'Empire. Officieusement bien sur, personne n'est dupe. Ces pactes de paix finiront par s’étioler d’eux-mêmes, quand tout le monde en aura assez de faire des concessions. D’un point de vue stratégique, la rébellion Sombrage est une aubaine pour nous. Difficile pour l’Empire de remettre en cause nos conditions et notre autorité quand il est occupé avec des conflits internes. Les hautes instances s’en réjouissent, mais contrairement à eux, je modère mon enthousiasme. Ils oublient un peu trop vite la cuisante défaite que nous on infligé les Rougegardes. Pour avoir participé à cette désastreuse campagne militaire, je sais de quoi sont capable les humains quand ils sont au pied du mur. Il serait imprudent de sous estimer Ulfric et ses hommes, d'autant qu'une défaite en Bordeciel remettrait sérieusement en cause notre main mise sur l'Empire...

“Every night and every morn  
Some to misery are born.  
Every morn and every night  
Some are born to sweet delight.  
Some are born to sweet delight,  
Some are born to endless night”.

❖ On ne sait rien concernant la vie d'Irinwe et Faelin avant qu'ils ne soient adoptés par le clan Arquen. A leur arrivée, ils étaient maladifs et sous-alimentés, couvert de bleus et de blessures. On les a nourrit, les lave et les soigne, mais ils ne prononcèrent pas un mot concernant les mauvais traitements qu'ils avaient subit.
Leur âge et leurs visages quasiment semblable laissaient penser qu'ils étaient jumeaux. Ils parlaient peu, et ne se quittaient pas.
On s'interrogea sur la nature de leur adoption. Pourquoi un clan aussi puissant et respecté que celui-ci aurait-il prit la peine de recueillir deux enfants des rues ? On murmurait qu'il s'agissait là d'une histoire de grossesse illégitime, mais personne n'osait formuler ces interrogations trop haut. Même au sein de la famille, peu nombreux étaient ceux à connaître la vérité, et ni le frère et ni la soeur de dirent jamais rien dit à ce sujet. Aux questions des curieux, ils répondirent simplement que les Arquens avaient le coeur sur la main. L'ironie était palpable.
Rapidement des rumeurs circulèrent à propos d'Irinwe. Les servantes avaient peur d'elle. Alors que son frère s'accommodaient plutôt bien de la vie en bonne société, Irinwe était solitaire, pour ne pas dire hostile à toutes formes de socialisation. Seul son frère et son mentor, un Arquen de pur sang qui agissait comme une figure paternelle envers eux, parvenaient à communiquer avec elle. Si dans les années qui suivirent son arrivé elle s'adoucit un peu, ce tempérament de fauve solitaire ne la quitta jamais vraiment. Quelque chose de sombre se mouvait dans ces yeux ambrés, une rage dissimulée sous un calme trop olympien pour être naturel. Outre le malaise naturel qu'elle inspirait à ceux qui l'entouraient, son comportement quotidien donnait la chair de poule. Un jour, un cuisinier fit un malaise en voyant la gamine plonger la main sans hésitation dans une marmite d'eau bouillante pour récupérer sa cuillère tombée au fond. Une autre fois, elle arpenta toute la maison avant de se rendre compte qu'elle avait un clou enfoncé dans le pied. Il fallut des heures aux domestiques pour nettoyer la longue trainée de sang qu'elle avait laissé sur son passage. Par un soir d'Âtrefeux, elle déclencha les hurlements d'une femme de chambre qui la surprit en train de s'arracher la peau du poignet comme si elle pelait un oignon. Quand son mentor l'interrogea sur ce comportement, elle haussa les épaules et répondit que ça ne lui faisait pas mal. Irinwe était un cas rare d'une maladie quasiment inconnue, qui la rendait insensible à toutes formes de souffrances physiques. Malgré les remontrances et les mises en garde concernant sa santé, Irinwe ne se rendait pas compte du danger qu'elle courrait en agissant de la sorte. Afin de lui faire comprendre, son mentor décida de prendre personnellement en charge son éducation. Il lui fit lire d'innombrable traité d'anatomie et la conduisit dans un temple d'Arkay où elle assista à des embaumements. Un des prêtres chargé des soins funéraires fut embauché pour disséquer des cadavres avec elle. Si au début, la vision des corps sans vie l'effraya, elle fut bientôt prise de passion pour le fonctionnement du corps  humanoïde.
D'abord, elle apprit par coeur la position de touts les organes, vitaux ou non. Ensuite, elle mémorisa la liste de chaque os du corps, même les plus infimes. Puis elle s'intéressa aux artères et aux veines, ou comment vider de son sang quelqu'un le plus vite possible. Les nerfs et les terminaisons nerveuses n'eurent plus de secrets pour elle. Ses examens mortuaires lui apprirent également à reconnaitre les effets de certains poisons, maladies, blessures... Elle su exactement où appuyer pour briser la nuque de quelqu'un, ou lui débloquer le dos.  Son enfance fut bercée par les leçons de science et les dissections. Après plusieurs années de pratique, l'anatomie humaine, Mer et Betmer n'avait plus aucun secret pour elle.
Néanmoins, elle se lassa vite de sa vie cloisonnée à l'Archipel de l'Automne. Consciente de son talent pour l’archerie et la discrétion, elle réclama à son mentor de pouvoir s’engager dans la Légion. Celui ci y était réticent, craignant qu’elle se mette en danger loin de sa surveillance. Il posa alors deux conditions : elle devait parfaire son entraînement en magie de guérison, et jurer de se contenter d’une carrière dans l’espionnage, loin des combats. Consciente que ces prérogatives étaient nécessaires, elle accepta et se lança dans l’étude de la magie qu’elle avait négligé jusque-là. De son côté, Faelin s'initiait à la magie et à la politique au sein de la plus haute école de magie d'Alinor. Si sa soeur était une guerrière, lui rêvait de faire carrière en politique. Les deux faces d'une même pièce, dont la loyauté allait aux Arquens, leurs sauveurs.
Lorsqu'elle eut obtenu un niveau satisfaisant en guérison, son mentor la laissa partir.
❖ Sa carrière dans la Légion fut marqué par plusieurs difficultés. Il grondait en elle un feu inextinguible. Elle était une louve, et il ne lui seyait guère d'être traitée en chien bien dressé. Son manque de discipline entraina plusieurs conflits avec ses supérieurs et il c'est sans grand étonnement qu'elle reçu sa dernière affectation : un trou perdu au milieu de Val-Boisé. Si elle fut tout d'abord dépité, elle comprit alors que c'était la meilleure chose qui pouvait lui arriver. Le mode de vie des elfes forestiers lui correspondait parfaitement et elle se rapprocha vite du culte d’Y’ffre, qui lui parlait beaucoup plus que celui d’Auri-El ou d’Akatosh...Elle rencontra à cette occasion d’autres soldats mers qui devinrent des amis. Ainsi que Nelacar.
C’était un bosmer, son supérieur hiérarchique, pourtant elle était plus âgée que lui. Il dirigeait l’unité, connaissant mieux que personne les forêts de son enfance. A cette époque, les prémices de ce qui allait devenir le Thalmor commençait à se mettre en place. Bien qu’il soit membre de la Légion, Nelacar faisait partie de ces mers qui se sentaient de plus en plus distants avec l’Empire et qui désirait plus d’indépendance. Ayant baigné dans le racisme latent des Altmers qu’elle partageait, Irinwe ne pouvait qu’acquiescer à ces revendications, même si la politique n’était pas un domaine qui la passionnait. Rapidement, des sentiments tout sauf professionnels naquirent entre eux, si bien qu’en 392 de la 3ème ère, ils s’unirent devant Y’ffre. Durant leurs années de mariage, Irinwe tombe enceinte. Elle donna naissance à un fils, Faenor, nommé en hommage à son frère. En l'an 433, elle attendait un autre enfant. Alors que dans les derniers mois de sa grossesse, son frère lui tient compagnie, elle fut prise d'un mauvais pressentiment. Son jumeau la rassura, ce n'était que l'angoisse de l'accouchement.
❖ Quelques jours plus tard, le ciel s'embrasa.  La Crise d’Oblivion. Les portes de l’Outremonde s’ouvrirent sur Tamriel. Tout le monde mourrait autours d’elle. Les forêts de Faneracine brûlaient. On courait pour échapper aux démons. Perdue dans la cohue, Irinwe peinait à retrouver son calme. Enceinte jusqu’aux yeux, agrippant son ventre comme pour protéger le petit être qui y grandissait des dangers extérieurs, elle essayait de retrouver Faelin, Faenor et Nelacar qu’elle avait perdu dans cohue. l'Empire a rappelé en urgences ses armées pour protéger la Cyrodiil et les quelques troupes restante étaient débordées. C'est un carnage. Le Thalmor protège héroïquement les mers des attaques daédras, mais pour Irinwe et sa famille, c'était peine perdue. Une explosion l'atteignit. Projetée sur les rochers, elle se relève et court...avant de remarquer aux bout de quelques minutes la large plaie qui s'étend sur son ventre. Elle perdit connaissance.
Quand elle se réveilla, c'est son frère qui se tenait à son chevet, blême. Son époux avait survécu au massacre. Pas leur fils. L'enfant à naitre ne viendrait jamais au monde.
La rage et le désespoir consumèrent Irinwe. Son époux et elle ne se remirent jamais de la mort de Faenor. Leur couple s'étiola et bientôt, ils devinrent des étrangers l'un pour l'autre. Méprisant l'Empire pour les avoir abandonné, ils se rapprochèrent du Thalmor et de sa doctrine, dernier point commun qui les unissait, mais qui ne pu sauver les reste de l'amour qu'il éprouvèrent un jour l'un envers l'autre.Sa relation avec Faelin suivit le même chemin. Si celui-ci souffrait pour sa soeur, il ne comprenait pas qu'elle puisse adhérer aux préceptes racistes du Domaine Aldmeri. Quitte à se mettre sa famille adoptive à dos, il déclara publiquement son mépris pour le Thalmor.
❖ Lorsque le Thalmor fut proclamé dans tout l'Archipel de l'Automne, Irinwe prêta allégeance, même si elle était moins motivée par la haine des humains que par son désir de voir les mers s' émanciper de l'Empire qu'elle jugeait indigne d'eux. Nelacar fit de même. Faelin en fut extrêmement déçu. Une ultime dispute prit place entre les jumeaux et le jeune homme quitta Alinor, furieux envers sa soeur. Lorsqu'elle chercha à le retrouver pour renouer contact, elle apprit sa mort dans un ''tragique et accidentel" naufrage. Cet ultime deuil acheva de la détruire. Se dévouant tout entière à la cause du Thalmor et des Arquens, qui étaient à présent tout ce qui lui restait, elle devint une agent du Thalmor crainte et respectée.
Durant le coup d'Etat de Val-Boisé, elle faisait partit des agents du Thalmor en infiltration pour soutenir de putsch. C'est à ce moment-là qu'elle commença à torturer les opposants politiques et ceux qui résistaient au Domaine. Elle fit taire son coeur et sa morale, devint le monstre dont la cause à besoin.
Quand la Grande Guerre éclata, elle dirigea un escadron qu'elle forma elle-même, composé d'elfes et de Khaajits. Son rôle consistait en grande partie à traquer les Agents des Lames qui avaient infiltrés les pays de Domaine, à faire parler leurs alliés et exécuter ceux qui leur étaient venu en aide.  Durant une de ces chasse à l'homme, elle assassina un couple de Lames...Et trouva, serrés contre la poitrine de leur mère qu'elle venait d'assassiner d'une flèche, deux bébés métis, à moitié elfe à moitié humain. Des jumeaux. Prise d'une soudaine compassion, elle les prit avec elle et les éleva comme ses propres enfants. Ses supérieurs acceptèrent qu'elle adopte les bâtards, à condition qu'elle ne le révèle jamais leurs origines. Elle accepta, et les enfants grandirent en aimant l'assassin de leur parent comme leur mère. Durant la Bataille de l'Anneau rouge, Irinwe se trouvait en Cyrodiil, dans la Citée Impériale. Ce fut un massacre. Elle vit ses compagnons d'armes tomber sous les coups des légionnaires un à un. Et être ramenés à la vie par un Nécromanciens, la traumatisant définitivement de toute sorte de magie d'invocation. Durant la bataille, elle manqua d'avoir la jambe arrachée par une louve de guerre et ne survécu qu'au terme d'un combat à mort avec l'animal qui la laissa épuisée. Elle serait morte en ces lieux si un de ses camarades Altmer ne l'avait pas trainé derrière les lignes alliés. Nelacar quant à lui, trouva la mort durant cet ultime combat.
Après la signature du Traité de l'Or Blanc, elle resta éloigné des combats un long moment. Elle prit part à la Guerre contre Lenclume, emmenant ses enfants au passage, même si elle se contenta de simplement coordonner différentes missions d'espionnage. Dans les années qui suivirent la guerre, elle se déplaça en Tamriel au grès de ses affectations, accompagnée de sa famille. Lorsque ses enfants furent plus âgés, elle les envoya à Alinor auprès de la famille Arquen pour qu'ils puissent bénéficier d'une éducation de qualité.
Alors qu'elle songeait à profiter de congés bien mérités auprès de ses enfants, le Thalmor lui confia une nouvelle mission. Se rendre en Bordeciel, où la Rébellion faisait rage pour diriger un groupe d'Exécuteurs dans leur mission.  Habitué à se salir les mains, Irinwe accepta. C'est ainsi qu'elle se retrouva dans ce pays glacé et inhospitalier. Alors qu'elle croyait qu'il ne s'agissait que d'une mission de routine, elle ne tarda pas à découvrir que les Nordiques ne manquaient pas de ressources pour pourrir la vie des elfes, et que les choses étaient plus compliquées qu'annoncées...  

❖ Tu peux maintenant passer signer les bottins Il y en a pas mal parce qu'on aime bien que tout soit bien rangé, mais il ne faut pas passer à côté, pour que tout soit clair pour tout le monde ensuite N'oublie pas aussi de signaler ton rôle et si tu as un clan
❖ Toujours dans la section obligatoire, il faut que tu crées ton agenda de rp : non, ce n'est pas une fiche de lien, c'est juste pour poster un lien à chacune de tes réponses, pour voir ton activité rp ! Tout est expliqué juste là mais en cas besoin, n'hésite pas à mp le staff!
❖ Pour trouver des liens et des rps, il est fortement conseillé de te créer une fiche de lien et passer dire coucou dans celle d'autrui !
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❖ Les journaux de bord sont optionnels, mais je te donne leur emplacement sur la carte : faire ta chronologie, le carnet de note de ton perso, un p'tit rp solo, noter son évolution tout ça est libre !
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❖Et ça c'est quoi ? ça c'est là où l'on vote sur le forum Paraît que c'est vachement utile pour ramener de nouveaux membres et faire prospérér l'empire la rebellion la non-consanguinité en Bordeciel