Race & origine Je suis un Orsimer de pur sang, né dans la Forteresse Orque Mor Khazgur, à l'Ouest de Solitude. Affiliation Autrefois, j'étais mineur et second de mon frère, le Chef Larak, commandant de la forteresse Mor Khazgur. Je ne l'ai jamais défié pour prendre le pouvoir et j'ai préféré quitter la forteresse plutôt que de le tuer. Je suis maintenant un Compagnon, la promesse d'une belle mort. Métier Je suis un Compagnon... La mission des Compagnon est, certes, importante, mais ce n'est ni après la gloire, ni après les Septims que je courre. Dieu Dans la plus pure tradition Orque, je vénère le Prince Daedra Malacath et je respecte son code à la lettre. Caractère Cherchez dans votre esprit tous les qualificatifs qui évoqueraient le mieux le charactère d'un orc de pure souche et vous obtiendrez plus ou moins une description fidèle. Je suis acharné, brutal, rude, silencieux, impitoyable, déterminé et sanguinaire. Cela ne fait pas de moi une personne mauvaise, mais c'est comme ça que notre société fonctionne : nous demandons le prix du sang pour réparer les offenses et, nous autres, orcs, sommes tous élevés dans la violence. Mais nous l'acceptons. Je l'ai accepté et je suis devenu une arme, le fer de lance de mon clan pour protéger la forteresse, à l'époque. Je porte le vol et les voleurs en horreur et je n'hésite pas à les exécuter sommairement sur une simple suspicion. Mais voilà. Je suis un sentimental caché. Je ressens beaucoup d'affection pour mon frère Larak. Trop d'affection, sans doute. De maintes fois, cette affection m'a empêché de lui faire l'honneur de le défier et de l'étrangler de mes mains pour prendre sa place. J'aurai pu avoir une forteresse, des femmes, des fils et des guerriers. J'ai toujours su suivre les ordres à la perfection. Mais, au lieu de cela, je n'ai que des regrets et un âge trop avancé pour entreprendre quelque chose. Trop de loyauté, peut être ? Bien sûr, en âge humain, je ne serai pas si vieux que cela, mais selon les règles du code, c'est trop tard pour moi. Mon heure de gloire est passée et mon existence est gâchée. Nous autres, les Orcs, nous mourrons jeunes, pendant que nous sommes encore assez habiles et vaillants pour offrir à Malacath un beau combat, une lutte sanglante et acharnée pour le divertir et montrer notre valeur. Et le combat, j'adore ça. Je suis même redoutable. Si l'on m'appelle Thrag "Main de Sang", c'est parce que je puise mes mains dans les plaies de mes adversaires et que je le porte bien haut, en trophée, dans l'espoir que Malacath soit fier de moi. Ma vie est simple : je tue ce que je dois manger, je le cuisine, je le mange, je dors, je mine et je forge ce que je mine pour me confectionner des armes et des armures. Je ne sais pas lire, j'ai quelques bases de magie de restauration et d'alchimie. Je possède un humour décapant bien malgré moi, et, si je suis capable de fulgurances humoristiques maladroitement involontaires, j'ai beaucoup de difficultés à ne pas prendre l'humour au premier degré. Je déteste l'eau, qu'il s'agisse de me laver ou de nager. Je panique et coule comme une pierre lorsque mes pieds ne touchent pas le fond. Et puis, nager avec un Marteau de Guerre dans les mains, c'est assez compliqué. Au combat, je ne crains personne, même s'il me faut affronter à mains nues un ours ou un troll. Un Orc digne de ce nom ne devrait pas craindre la mort, mais la célébrer à l'idée qu'elle puisse être sanglante et glorieuse. Aujourd'hui, je n'ai qu'une seule préoccupation : mourir au combat. Les Compagnons pourront ils m'offrir ce cadeau ?

Apparence, vêtements, anecdotes Pour un Orc, je suis un grand Orc. J'étais le plus massif de mon clan et certainement le plus fort et vaillant au combat, même si je ne l'ai jamais prouvé en tuant mon frère pour prendre sa place. Ma fierté, ce sont mes deux crocs proéminents, cerclés d'une bague en orichalque gravée, dans un état impeccable. Nous n'en parlons pas beaucoup entre nous, mais les orcs dont les crocs sont brisés sont considérés comme des sexes-mous et sont régulièrement victimes de railleries. J'ai une longue cascade de cheveux noirs tressés et rassemblés en dreadlocks. Je prends grand soin de ma coiffure, car je sais que c'est en m'attrapant par les cheveux que Malacath me traînera auprès de lui. J'orne mes tresses de bijoux, de bandelettes de tissus et d'ossements que j'arrache aux tenues de mes adversaire vaincus au combat. Toujours prêt au combat, je ne quitte jamais mon marteau de guerre. Je porte de nombreuses cicatrices, que j'affiche avec orgueil sur mon torse, bombé en permanence, comme un témoignage de ma combativité. J'ai l'air plus solennel qu'agressif, parce que je suis assez silencieux et fier dans mon attitude. Je sais aussi faire parler mes poings et hausser le ton lorsque c'est nécessaire. La vue du sang me plaît et je n'ai pas peur de me salir les mains... D'où le surnom que l'on m'a donné quand j'étais encore un petit orc. Je ne suis jamais tombé malade.

Paramètres systèmesPseudo/Prénom Ozy imp>Age 28 ans. Pays France Comment as-tu connu le forum ? Sur Pub RPG Design, je crois Des remarques ? Fus Roh Dah. .

Les dragons ont toujours été une légende, du folklore : maintenant, on dit qu'un d'entre eux à attaquer la forteresse d'Helgen.. Y croyez-vous ? J'espère que les dragons existent. Je les imagine gigantesques et puissants, des adversaires coriaces et dangereux qui m'offriraient probablement une mort glorieuse. Je ne peux attendre d'en affronter un.

La mort du haut-roi des mains du chef des rebelles, le siège de Fortdhiver sont deux actions qui ont fait éclaté la guerre civile, longtemps larvée entre Impériaux et Sombrages : comptez vous vous engager d'un côté ou de l'autre ? Je me moque des querelles des hommes, des sombrages, des impériaux et des autres. Je me fous de leur course au pouvoir, tant qu'ils ne s'en prennent pas aux forteresses orques. Je sais pourtant que de nombreux orques ont rejoint les rangs de l'empire, et je ne peux que les envier d'aller chercher leur mort sur un champ de bataille, en première ligne, mais je m'abstients de prendre parti pour un camp ou l'autre.

J'étais assis sur une souche qui dormait le long d'un chemin pavé, les mains jointes sur la hampe de mon marteau de guerre, le visage tiré. Je n'avais pas dormi depuis des jours : je ne voulais pas rater son arrivée. Des bruits de pas résonnèrent en échos de moins en moins lointain et mes yeux se posèrent sur la silhouette avec une impatience grandissante. Le voyageur, méfiant, passa devant moi, la main sur le pommeau de son épée.

'Vous êtes là pour m'accorder une belle mort ?" grognais-je.
- Une belle mort ? Rétorqua-t-il, visiblement de plus en plus surpris.

Je haussais les épaules. "Oui, une belle mort. Si je m'allongeais simplement pour mourir, cela ne plairait pas à Malacath."

- Mais... Mais, je ne comprends pas. Pourquoi voulez vous mourir ?

Je grognais à nouveau. Pourquoi me fallait-il croiser le chemin d'un bavard plutôt que de croiser le fer. L'étranger voulait connaître l'histoire du vieil orc qui voulait mourir dignement.

- Je suis trop vieux. Trop vieux pour devenir chef. Trop vieux pour me marier et faire des enfants. Mon temps est venu. Malacath m'a envoyé la vision d'une mort honorable et digne dans le feu du combat. Alors... J'attends une belle mort et j'attendrai ici jusqu'à ce qu'elle arrive. Manifestement, je suis en avance.

- Je ne voudrais pas insister, mais vous avez l'air d'être encore robuste et fort, vous feriez sans doute un bon guerrier ou un mercenaire redoutable !

- En effet, je suis un guerrier implacable. Nous autres, les Orcs, nous ne sommes pas comme les Nordiques ou les Impériaux. Nous avons horreur de voir un Orc aux cheveux blancs, faible, vacillant à cause de son grand âge. Nous avons pour coutume de penser qu'il est ridicule de s'accrocher désespérément à une chose vieille et inutile. Vieux et inutile, c'est ce que je suis maintenant et je veux partir en offrant à mon dieu le dernier spectacle d'un combat à mort.

Un long silence suivit. L'étranger avait relâché l'étreinte de sa main gantée sur le pommeau de son épée. Il avait compris que je n'étais pas une menace et que je ne l'attaquerai pas sans raison, du moins, pas tant qu'il ne m'eût promis une belle mort. Contre toute attente, le voyageur vint s'asseoir à côté de moi et brandit à ses lèvres une flasque qui empestait le vin rouge. Il me la tendit, mais je déclinai son offre et sa sollicitude.

- Veillez m'excuser de m'imposer ainsi à votre présence, mais je trouve votre histoire fascinante. Je viens de Anvil et il n'y a pas beaucoup d'orcs là bas. Puis-je vous demander d'où vous venez ? J'ignore tout de votre culture...

- Culture est un bien grand mot. Nous sommes un peuple de guerriers et nous grandissons dans l'optique de défendre notre chef, ses femmes et nos forteresses. Je viens de Mor Khazgur, un fort Orc aux abords de Solitude. Mon frère aîné est le Chef du clan, ce qui signifie que lui seul peut posséder les femmes. J'étais plus fort que lui, mais je ne l'ai jamais défié. Je ne voulais pas le tuer. C'est comme ça, chez nous, c'est inscrit dans notre code : chaque Chef de nos forteresses l'est devenu en tuant le chef précédent en combat singulier. Je me suis contenté de miner, de forger, de chasser et de défendre le fort contre les bandits, comme un bon lieutenant. Mais, maintenant, je suis trop vieux pour prendre la place de mon frère et ce serait mal de prendre une femme. Alors j'ai fait ce que tout bon orc aurait fait à ma place. Je suis parti du camp pour trouver une belle mort. Cette décision date déjà de plusieurs mois... Je me demande quel adversaire va m'opposer Malacath et où aura lieu le combat. Puisque j'ignore tout de son plan, j'ai décidé d'attendre ici.

- Mon ami, repris l'homme d'un air distant, vous devriez consacrer votre temps restant à une bonne cause !

Je tournais lentement la tête vers lui, interrogateur.

- Oui, je suis passé par Blancherive, une ville au centre de Bordeciel et il y a, là bas, une assemblée de puissants guerriers qui bravent la mort tous les jours en débarrassant Bordeciel des pires menaces. Avec toutes ces rumeurs sur le retour des dragons, il n'y a pas de doute dans mon esprit que ces "Compagnons", comme ils aiment à s'appeler, ne meurent tous dans l'honneur et la dignité, comme vous !

Je pris appui sur mon marteau de guerre pour me redresser et quitter ma souche. Je remerciai le voyageur et entrepris de rejoindre Blancherive. Si la "bonne cause" m'importait peu, mon esprit s'emplissait d'images d'un combat singulier avec un Dragon pour la gloire éternelle de Malacath et la fierté d'un vieil orc. On ne pouvait rêver plus belle mort.

❖ Tu peux maintenant passer signer les bottins Il y en a pas mal parce qu'on aime bien que tout soit bien rangé, mais il ne faut pas passer à côté, pour que tout soit clair pour tout le monde ensuite N'oublie pas aussi de signaler ton rôle et si tu as un clan
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