Race & origine Ulfric est un pur nordique, originaire de Bordeciel et de la châtellerie enneigée d'Estemarche. Il est le fils du précédent Jarl dit "L'Ours de Vendeaume" et fut destiné à gouverner son peuple d'Estemarche.Affiliation Il est le Vrai Haut-Roi pour les Sombrages. C'est lui l'instigateur de cette rébellion. Il se battra jusqu'au bout pour l'indépendance de Bordeciel ! Il est aussi Jarl d'Estemarche et parallèlement au destin de son pays, il gère également les problèmes de son peuple aux côtés de sa chambellante. Métier Ulfric est le Jarl de Vendeaume, il dirige son peuple d'Estemarche avec l'aide de sa chambellante. Mais il dirige surtout les nordiques de sa châtellerie, estimant que les autres races gênent ses préoccupations plus importantes. Ulfric est également un grand guerrier et un combattant aguerri. Enfin, il est aussi un général et un chef, il mène la rébellion Sombrage pour l'indépendance de Bordeciel face à l'Empire. Il fédère le peuple nordique voulant recouvrer leur tradition et leur culte face à un Empire qu'il considère désormais illégitime. Il mène militairement la guerre civile contre celui-ci. Dieu Il croit en l'humanité et en l’héroïsme. C'est pourquoi, comme de nombreux nordiques, il prie Talos d'Atmora, le nordique qui amena l'humanité en maître et unifia Tamriel sous sa bannière. Après sa mort, il devint le Dieu des Hommes. Ulfric fut enragé d'apprendre que le culte de Talos fut interdit lors du traité de l'Or Blanc, c'est une des raisons qui l'a poussé à se soulever contre l'Empire. Caractère A de nombreuses reprises, Ulfric a sût prouver qu'il était quelqu'un de déterminé. Cet homme s’est battu et à dût faire preuve de courage à la fois dans ses relations et sur le champ de bataille. Homme de conviction, il à sacrifié nombre de choses pour défendre ce en quoi il croit, sans jamais renoncer. Loyal envers sa cause et envers sa famille, ses suivants, envers son peuple de Bordeciel et envers son dieu, la trahison est une chose qui lui est inconcevable. La famille, le peuple et la partie, sont trois choses qui le maintiennent en vie. Ce pour quoi il se bat. Ce pour quoi il avance. Soucieux de leurs problèmes et du bien commun, il se bat pour eux : Pour la liberté, l’autonomie, et nombre d’aspirations qui dépassent les rêves de prestige du commun des guerriers. Intelligent et prudent, il n'agit jamais réflexion. Cependant, il reste martial, et à sût mettre à profit ses qualités, faisant de lui un grand stratège. Agissant avec vitesse mais sans précipitation, réfléchissant avec prudence mais sans immobilisme, la loyauté des jarls et du peuple peut vaciller sous son autorité si il ne se montre pas à la hauteur de leurs espérances. Néanmoins, en qualité d’homme de relations, il ne froissera jamais ses subordonnées ou sa hiérarchie. Il n'est pas sans défauts, loin de là, Ulfric est quelqu'un qui refusera absolument de laisser ses convictions de côté et scandera sur tout les toits qu'il a raison, il ira jusqu'au bout de ses idées. Il est très rancunier envers les traîtres, par exemple envers l'Empire qu'il estime avoir trahit l'humanité suite au Traité de l'Or Blanc, mais aussi envers le Jarl de Markath qui le dénonça auprès de l'Empire et du Thalmor pour culte illégal. Il est également rancunier envers le Thalmor à la fois pour la guerre militaire, puis idéologique qu'elle a déclarée à l'humanité, mais aussi pour ses deux emprisonnements, une fois pendant la guerre et l'autre fois après avoir été dénoncé par le Jarl de Markath. Il fut même torturé pendant la guerre afin qu'il révèle des informations qu'ils connaissaient déjà. Cet événement le traumatisa et renforça sa conviction: « Il fut un temps où je céda aux méthodes barbares des elfes du Thalmor. Désormais, même 1000 douleurs ne me fera pas vaciller. » C'est depuis ces jours qu'Ulfric condamnera l'utilisation de méthodes aussi abjecte que la torture, sans vraiment l'interdire auprès de ses sujets, mais en militant et essayant de les convaincre que l'honneur est une chose qui compte énormément dans la vie d'un nordique. Car oui, Ulfric est quelqu'un d'honorable, il n'humiliera jamais ses ennemis, il leur offrira une mort honorable et demandera une exécution dans l'honneur si celui-ci venait à être vaincu. Pour les autres races, à part les membres du Thalmor, il enverra la dépouille avec les honneurs sur leurs terres natales. Ulfric n'est pas réellement raciste, il supporte les familles d'autres races présentes depuis longtemps en Bordeciel et qui ne soutiennent pas les Thalmors, notamment les Dunmers présents à Vendeaume. Mais il ne fait que les supporter, au fond de lui il est assez écœuré de ce brassage racial, il reprochait autrefois par exemple, aux familles influentes de Vendeaume d'utiliser des Khajiits et des Argoniens en tant que serviteurs dans leurs maisons, profitant de leur misère et du fait qu'ils soient des voleurs pour la plupart. Il est généralement désintéressé du sort de la plupart des autres races qui peuplent Bordeciel, ne se préoccupant la plupart du temps uniquement des Nordiques et du destin de son pays, comme par exemple avec les problèmes du quartier pauvre de Vendeaume où les Dunmers y habitent, estimant qu'ils ne font que le « gêner » avec des préoccupations bien moins importantes que les siennes, ce que ne cautionne pas son bras-droit, qui estime qu'en les traitant mieux et en s'intéressant à leur sort, les étrangers soutiendront la cause des Sombrages à la place de l'Empire et du Thalmor. Les seuls étrangers qu'il respecte ou qu'il porte un tant soit peu d'intérêt sont les mages de l'Académie de Fortdhiver, car il sait que son peuple a une sensibilité magique trop faible pour être de bons mages, il est également au courant que ces personnes là sont pour la plupart des érudits, des êtres très intelligents et de bons guerriers. En bref, le sort des étrangers de l'Académie de Fortdhiver le préoccupe plus que le sort des étrangers du reste de Bordeciel. Pour finir, il n'a pas réellement d'avis sur les Orques et leurs forteresses se trouvant sur leurs terres, ainsi que sur les Grises-Barbes qu'il côtoya pendant 10 ans, ils seront juste ceux qu'il laissera neutre dans tout Bordeciel, leur faisant également confiance pour arbitrer un échange diplomatique, comme par exemple une future trêve avec l'Empire. En dehors de ses convictions et de la guerre, Ulfric est en grand amateur de jeux, comme le Molkyy, un jeu consistant à lancer un petit rondin de bois sur des sortes de quilles numérotées parsemées sur le sol, droites, il ne refusera une partie que si il est occupé à d'autres choses de plus importantes. Il apprécie également un art en particulier, la Musique, même si parfois les bardes fanatiquement dévoués à lui, et lui chantant des comptines et des chansons le comparant à un dieu et un sauveur le gêne un peu.

Apparence, vêtements, anecdotes Ulfric est un nordique droit et fier, il est imposant comme les autres personnes de sa race. Il est plutôt grand, musclé et fort, son corps étant forgé par les combats et par le froid. Il possède de nombreuses cicatrices sur le torse et les bras, n'étant jamais vraiment restés en arrière lors de combats, il préfère y prendre part aux côtés de ses hommes. Au niveau de son visage, celui-ci est traversé de part en part par une longue balafre faites pendant la guerre contre le Thalmor lorsque celui ci était capturé et torturé par leurs hommes. En effet, celui-ci, retissant à trahir la Légion Impériale qu'il considérait légitime en ces temps, il se moqua de ses tortionnaires qui, vexés, lui entaillèrent profondément le visage. Il a les traits forts comme les autres membres de sa race, et un menton et une mâchoire bien carrée. Les quelques cicatrices à la mâchoire, vestiges des violents coups qu'il reçut dans les salles de torture du Thalmor, sont cachées par une barbe de 6 jours, blonde et légèrement brune vers le menton. Il a les cheveux longs aussi blonds et légèrement brunis qui lui tombe jusque sur le haut du cou, portant également deux tresses serties chacune d'un anneau en argent dedans. Au niveau des habits, celui porte une épaisse cape de fourrure grise sur les épaules et des bottes brunes avec un intérieur de cette même fourrure, resserrées par des lanières de cuir. Son pantalon est fait de cuir noir, et remonte jusqu'à une ceinture de cuir bruni avec une boucle en argent resserrant sa taille. Au dessus, il porte un vêtement en cuir brun foncé resserrés par de multiples lanières en cuir, dont un sur son torse formant une croix, et possédant l'insigne de Vendeaume en argent sur son torse. Ses mains sont habillées de gants de cuir portant de la fourrure également grise en son intérieur. Lorsqu'il est en combat, ou dans la nature sauvage, il porte par dessus et à la place de son haut une côte de maille et une fine armure de plates mais extrêmement résistante au coup et aux chocs. Il possède également deux gants en acier protégeant tout son poignet et sa main, sertie également d'un gant en cuir afin de protéger le dessous (Le dessous n'étant pas fait de fer afin de ne pas entraver les mouvements). Pour finir, et pour certaines occasions, celui porte un casque de seigneur nordique, un casque d'acier à lunettes, possédant deux plaques de métal sur les joues afin de les protéger et une côte de maille dans la nuque afin de la protéger également.

Paramètres systèmesPseudo/Prénom Marius/ElMariouso Age 18 ans Pays Belgique Comment as-tu connu le forum ? J'ai pris les rênes d'un forum à refaire qui vous avait demandé un partenariat Des remarques ? Chocolatine

Les dragons ont toujours été une légende, du folklore : maintenant, on dit qu'un d'entre eux à attaquer la forteresse d'Helgen.. Y croyez-vous ? Comment pourrais-je oublier, ou juste ne pas y croire ? Je l'ai vu de mes propres yeux, ces ailes sombres... J'avançais sur le billot quand je l'ai vu, le ciel était rouge sang, les flammes infernales tombaient du ciel, les gens mourraient autour de moi, carbonisés ou dévorés par cette abomination... Et cette voix, je la ressentais parcourir toute mon échine, j'avais l'impression de la comprendre. Je maîtrise les bases du Thu'hum, la langue des dragons, comment n'aurais-je pu ne pas y croire ?

La mort du haut-roi des mains du chef des rebelles, le siège de Fortdhiver sont deux actions qui ont fait éclaté la guerre civile, longtemps larvée entre Impériaux et Sombrages : comptez vous vous engager d'un côté ou de l'autre ? Je suis le malheureux déclencheur de cette guerre. Mais c'est une guerre juste. Dirigeant de la rébellion des Sombrages, je me suis soulevé contre cette empire tyrannique, qui n'a plus aucune raison ni légitimité de gouverner Bordeciel. Mon pays est le Coeur de l'Humanité, elle doit rester forte et indépendante. L'Empire croit avoir la main mise sur nous, ce même Empire trop faible, qui demande des dettes à des citoyens appauvris et démunis par la guerre, et qui les traitent de criminels quand ceux-ci veulent gouverner eux -mêmes ? J'ai commencé cette guerre, et je compte bien la continuer jusqu'à ma mort.

Ulfric Sombrage naquit au sein du château de Vendeaume par une froide nuit d'hiver de l'an 153 après la chute des Septims. Fils unique du Jarl surnommé « L'Ours de Vendeaume », il fut destiné à être le seul et unique héritier du titre à la mort de son père.
C'est lui qui l'entraîna aux armes dès ces six ans sous les tempêtes de neige d'Estemarche, c'est pendant ces moments là que son père lui dessina un fort caractère fougueux

...

L'Ours lui relança l'épée qu'Ulfric rattrapa au vol par la poignée.
« Ton coup d'épée est réellement bien... »
Il releva la tête, couverts de bleus et saignant du nez, il lâcha un long soupir de soulagement, la buée obstruant sa vue l'espace de quelques dixièmes de seconde. Enfin il avait réussi.
« Pour tuer des rats. »
Le sourire qui se dessinait sur le visage d'Ulfric s'estompa pour laisser place à la déception. Il reprit l'épée à deux mains et chargea pour contre-attaquer en donnant un violent coup d'épée vers le torse de son père.
« Je ne voudrais pas te blesser ! » retorqua t-il
Les deux épées s'entrechoquèrent, l'Ours lâcha un rire taquin alors qu'il fit un pas sur le côté et que l'enfant continuait sa route.
« Tu es très loin du compte, allez montre moi ce que tu sais faire ! »

…

Ulfric était étendu, essoufflé dans la neige, il regardait les flocons de neige tomber, la luminosité l'éblouissait légèrement.

« Allez, debout, un vrai nordique n'abandonne jamais ! »

Le jeune nordique se releva difficilement, ses muscles étaient engourdis et ses bras lui faisaient mal, il ramassa nonchalamment son épée, ne quittant pas son père des yeux. Poussant un cri de rage, il rechargea en sa direction : les deux épées s'entrechoquèrent à nouveau violemment dans un fracas métallique, Ulfric recontre-attaqua en frappant un violent coup dans les jambes de son père, qui vacilla en arrière avant de reparer à nouveau un coup qui venait vers son visage.

« Haha, c'est bien... Mais doucement, tu n'es pas encore un guerrier. »
« Non, je serai un vrai nordique ! »

…

Et c'est pour cela que lors du Soulèvement du Domaine Aldmeri en l'an 171 vers ses 18 ans, il prit les armes et s'engagea dans la Légion impériale afin de protéger le mode de vie de l'humanité. C'est dans son régiment qu'il fit la rencontre de la personne qui sera bien des années plus son bras-droit, et de la personne qui serait bien plus tard un de ses grands ennemis lors de la rébellion, le Légat Impérial. Au fil des combats et de son épée il monta, vers le milieu de la guerre, en grade pour devenir capitaine de son régiment, secondé par son ami de toujours. Mais c'est au début de l'an 174 qu'il fut vaincu par les troupes du Thalmor, capturé et emmené pour être interrogé. Le tortionnaire elfe, sadique, et sachant bien que le siège de la Cité Impériale débuta, le tortura lentement dans les salles d'un donjon de Cyrodiil pour le forcer à révéler les plans de l'Empire.
Au bout de nombreuses semaines, il finit par craquer et révéla tout. Le tortionnaire lui mentit en lui disant que ces informations leur seront très utiles alors que la Cité Impériale venait de tomber, le faisant culpabiliser et reprocher des faits de trahison dont il n'était en aucun cas coupable.

Après la bataille pour la Reconquête de la Cité Impériale et la signature du traité de l'Or Blanc, Ulfric fut relâché et apprit les termes du traité. Outré, enragé et sa fougue contre ce traité le poussa lui et des centaines de nordiques à quitter la Légion Impériale. Cet événement planta les graines de l a discorde et de la Rébellion.
Des mois plus tard, alors à Markath pour aider son ami le Jarl dont sa ville fut prise de siège par des Parjures qu'il chassa à l'aide de son ancien régiment. Il réussit à négocier lui et ses hommes déserteurs la permission de vénérer Talos, alors interdit par le Traité de l'Or Blanc. Mais, un an plus tard, le Jarl de Markath trahit sa parole et dénonça Ulfric et ses hommes à l'Empire et au Thalmor qu'ils l’arrêtèrent et le jugèrent pour désertion et pratique de culte prohibée. Il fut enfermé à Solitude et revécu en quelque sorte les événements qui s'étaient déroulés pendant la guerre.
Il y apprit durant son séjour en prison la mort de son père, le Jarl de Markath, d'un accident de chasse. Le nordique, impuissant, ne put qu'envoyer une lettre vers Vendeaume pour rendre hommage à celui qui fut « L'Ours de Vendeaume ». Sa châtellerie est alors sans jarl : ses plus proches collaborateurs comme son ami de toujours, alors dans sa ville, décidèrent alors de l'aider à s'échapper de prison. Un vague de courroux traverse alors tout Bordeciel, certains nordiques commencèrent alors à douter de l'Empire, cet Empire qui enferma alors un Jarl censé gouverner son peuple car il adorait un Dieu que les elfes détestent.
Sachant cela, la Légion abandonne les charges contre lui et le libèrent à la sortie de la châtellerie de Solitude, voulant à tout prix éviter un soulèvement de la population nordique qu'elle sent arriver. Ce n'est évidemment pas le cas d'Ulfric mais sa patience se construit.

Une fois retourné à Vendeaume, alors emplis de chagrin par la mort de son père et de rage par rapport au Thalmor, les habitants de la ville s'accordèrent tous pour le faire monter sur le trône, le voyant ici comme un martyr.
Il y restera quelques années et nommera son ami de toujours Chambellan afin d’asseoir sa légitimé de Jarl, et renforcer la loyauté des nordiques et des jarls lui étant fidèle. Une fois son pouvoir et ses partisans renforcés, il légua le contrôle de la châtellerie à son chambellan le temps de son absence.
En effet, celui-ci fit route vers le Haut-Hrothgar, gravissant la montagne pendant des jours, sous les tempêtes de neiges et les attaques de trolls, s'arrêtant à chaque autel pour prier les dieux.
Tous pensèrent qu'il rejoignit les Grises-Barbes afin d'étudier la Voix et devenir l'un d'entre eux, mais dix ans plus tard, il revient à Vendeaume pour récupérer le trône.
Ce coup de maître lui apporta le soutien du peuple et de nombreux jarls. Au lieu d'être haïs et hué pour ne pas avoir prit soin de sa châtellerie pendant tout ce temps, il fut considéré comme un vrai Nordique, un vrai respectant ses traditions, un vrai qui était détesté par l'Empire et le Thalmor qui désirait les effacer pour une culture elfique.
Mais il revint pour une seule raison : le Thalmor.
Son âme de Nordique ne put supporter de voir l'influence de celui-ci mettre Bordeciel à genoux. Il créa une faction au sein de la société nordique militant pour retrouver leurs valeurs et ne pas se laisser corrompre par les Elfes. Ses partisans prirent son nom : Les Sombrages.

Les tensions entre les Sombrages et l'Empire montant, Ulfric se rendit à Solitude : Il demanda un combat à mort honorable, tel que la tradition Nordique le veut, contre le Haut-Roi Torygg afin de prendre sa place.
Ulfric ne laissa aucune chance à Torryg, une fois que le jarl de Vendeaume para le coup d'épée du roi, il le mit en pièce d'un seul Cri. La dernière chose qu'il put voir de son vivant est le fils de l'Ours, au dessus de lui, lui plantant une épée dans le cœur devant des dizaines de témoins.
Les plus fervents partisans de la Légion, outrés, firent passer le duel pour un lâche assassinat, sans honneur.

Alors qu'il essaya de rentrer à Vendeaume avec ses hommes et son bras-droit tout en essayant d'échapper à la Légion, il tomba dans un piège des Impériaux près de la frontière avec Cyrodiil. L'instigateur de ce piège n'était autre que le général Tullius, nouvellement arrivé en Bordeciel pour calmer les tensions. Après quelques jours dans les cages de la Légion, il fut emmené à Helgen afin d'être exécuté. Outrés eux aussi par cette nouvelle, les Sombrages firent passer l'Empire pour des tyrans.

« Ulfric Sombrage, certains ici à Helgen vous prennent pour un héros, mais un héros n'utilise pas un pouvoir comme celui de la Voix pour assassiner son roi et usurper son trône. » Marcus Tullius, Général de la Légion Impériale

Mais l'exécution fut stoppée par l'arrivée d'un colossal dragon qui embrasa Helgen, et, profitant de la panique, Ulfric profita du moment pour s'enfuir par les souterrains.

Une fois rentré à Vendeaume et accueilli comme un héros et plus que jamais comme un martyr du peuple nordique, la nouvelle mit feu aux poudres de la Rébellion. Les Sombrages prirent les armes par centaines et se soulevèrent contre leur oppresseur. Les partisans d'Ulfric furent arrêtés ou chassés dans les provinces loyales à l'Empire. Son bras-droit et ami de toujours quitta ses fonctions de chambellan pour devenir général et fut remplacé. Après la mort de ce nouveau chambellan, c'est la conseillère militaire d'Ulfric, Erendis qui prit les fonctions de chambellan.
Ulfric ne comprend pas comment des Nordiques peuvent soutenir l'Empire ou rester neutres, il trouve cette division en trois camps inadmissible et pense qu'ils devraient tous s'unir contre leur ennemi commun : le Thalmor.
Par prudence et par peur qu'elle rejoigne la Légion, Ulfric avança prit de siège l'académie des Mages de Fortdhiver. Il le sait, il le sent, les affrontements contre la Légion vont bientôt commencer et il se doit de protéger ses arrières et fédérer encore les indécis. Pour le moment, le siège est calme et doux, mais les relations avec le jarl s'enveniment. Ulfric parlemente avec lui afin qu'il convainque les mages de se rendre, lui promettant de l'aide matérielle, des vivres et une aide à la reconstruction de la ville. Pour le moment, Valgeir Tristeglace voit d'un œil mauvais ce siège qu'il qualifie de traîtrise, mais qui sait, peut-être que le siège pourrait se finir dans les prochains mois ?

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